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Gérard Pierron
En revenant du bal
Qui se soucie encore de Gaston Couté, poète bauceron mort au début du siècle ? Gérard Pierron bien évidemment. Le voici patoisant à nouveau les vers libres du chansonnier. Pour conter fleurette, Pierron y cueille gourmand les épines et le velours, d’une voix guillerette qui vire pathétique pour secouer les colères de ce bas monde que Couté asticote avec une …
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Gérard Pierron
Parfois, il m’arrive d’imaginer la perplexité d’un promeneur ou d’un archéologue (les deux fonctions n’étant pas, je le souhaite, incompatibles) dans quelques millénaires, découvrant des effigies de milliers de souris vêtues et rigolardes, des milliards de capsules métalliques ornées de L, de C, de O, de A et s’interrogeant sur les cultes et les pratiques des temps anciens. Souhaitons qu’il existe, entre autres, une trace du travail de Gérard Pierron sur les textes de Gaston Couté, témoignage de la vie d’un terroir au début de l’ère industrielle et des conséquences que l’on sait.
Pierre Barouh
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